In THe NEws

LafargeHolcim entretenait des relations étroites avec le MEHL, un conglomérat contrôlé par l’armée birmane. Le cimentier affirme n’avoir plus d’activités dans le pays. Mais sa filiale n’a pas disparu.

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Depuis le coup d’Etat militaire en Birmanie, le 1er février, la pression monte sur le groupe Total. Et pour cause : le pétrolier français exploite depuis 1998 un gisement de gaz au large des côtes birmanes.

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En l’absence de sanctions de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour cause d’obstruction russe et chinoise, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne ont réimposé des sanctions contre les généraux birmans, ainsi que contre deux conglomérats contrôlés par l’armée, la MEHL et la MEC et leurs filiales.

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In an apparent attempt to expand his military conglomerate, Myanmar coup leader Senior General Min Aung Hlaing has opened a new military-owned hospital in Yangon 91 days after seizing power from the country’s democratically elected government.

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Die Gewerkschaften von Myanmar kämpfen für die Arbeitsrechte der Arbeitnehmer, die an der Spitze der Civil Disobedience Movement (CDM) standen und fordern von internationalen Marken die Einhaltung der Richtlinien zur Vereinigungsfreiheit (FOA), Teil der ACT-Initiative (Aktion, Zusammenarbeit, Transformation des existenzsichernden Lohns).

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ミャンマーでは、クーデターの発生から1日で3か月がたちました。軍による市民への激しい弾圧が続き、現地の人権団体は、これまでに759人が犠牲になったとしていて、経済や社会の混乱にも拍車がかかっています。

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Thousands of people have called for Kay Kuok Oon Kwong to be removed because of her business ties to the Myanmar army, which has killed hundreds and injured thousands since taking power in the country in a February coup.

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Depuis son putsch, l’armée birmane continue de réprimer violemment la population qui se mobilise pour la démocratie. Des entreprises étrangères ont quitté le pays pour ne pas collaborer avec la junte. Pas Total, qui y exploite du gaz.

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Seit dem Militärcoup in Myanmar hat das Regime über 740 ZivilistInnen ermordet. Trotzdem führt der französische Erdöl- und Gaskonzern Total sein lokales Geschäft weiter.

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Hacktivism has provided journalists and non-profits with large troves of data to sift through since Myanmar's coup. But limitations in identifying and hurting the military, as well as its feasibility to sort through, highlight a disconnect between hackers and reporters.

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