In THe NEws

Tougher action is urgently needed to cut off foreign currency flows to the Myanmar military regime, suggested local and foreign financial experts, who argued that severing its financial lifeline would hasten the collapse of military rule.

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မုတ္တမကမ်းလွန်ပြင် ရတနာ သဘာ၀ဓာတ်ငွေ့ လုပ်ကွက်တွေကနေ ဓာတ်ငွေ့ တူးဖော်ပြီး ထိုင်းကို ပိုက်လိုင်းကနေ တင်သွင်းတဲ့ လုပ်ငန်းဟာ နိုင်ငံခြား ကုမ္ပဏီကြီးတွေ အတွက် အမြတ်မတန်တဆ ရနေပြီး၊ မြန်မာပြည်အတွက် အကျိုးရှိမှုက ပြောပလောက်ဖွယ် မရှိကြောင်း ဖော်ပြနေတဲ့ ငွေကြေး ဆိုင်ရာ စာရွက်စာတမ်းတွေ ပေါက်ကြားလာခဲ့ပါတယ်။

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A possible global treaty to address cybercrime risks legitimizing abusive practices and could be used as an excuse to silence government critics and undermine privacy in many countries, Human Rights Watch said today.

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Activist group Justice For Myanmar, which documents military-linked financial matters in the country, has accused French major Total of making excessive profits at Myanmar’s expense.

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Chinese energy companies contracted to build power plants in Myanmar have had their projects put on hold, and some are considering exiting the market, in a sign of how the military coup in the Southeast Asian country may be deterring even thick-skinned Chinese investors.

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Des centaines de millions de dollars provenant des ventes du gaz du gisement de Yadana en Birmanie, exploité par Total depuis 1998, seraient détournés des caisses de l’État birman vers la MOGE, une "entreprise publique à la gestion opaque, contrôlée par les militaires", selon un article du Monde daté 4 mai 2021.

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L'ONG Justice for Myanmar affirme que les profits extraordinaires de Total sur le pipeline (97 % sur trois ans), sont dus à un montage qui permet à Total de ne pas payer de royalties sur l'activité de Yadana, en "déplaçant" les profits sur le tuyau.

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La révélation de près de 120 000 documents internes de l'Etat myanmarais a mis en lumière et prouvé la responsabilité de Total dans le financement de la dictature. Une enquête du Monde a confirmé ces informations.

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C’est un montage financier de grande ampleur qu’a révélé « le Monde », ce mardi 4 mai. La compagnie pétrolière française Total financerait, par l’intermédiaire de comptes offshore, les généraux de la junte militaire en Birmanie.

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C’était le 1er février dernier. La junte militaire s’empare du pouvoir en Birmanie et procède à une vague d’interpellations dont celle de la dirigeante du pays, Aung San Suu Kyi, considérée comme beaucoup de Birmans comme une icône de la démocratie.

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